« La première chose que je vis d’elle fut sa cheville, délicate, nerveuse, qu’enserrait la bride d’une sandale bleue… » Manhattan, 1969 : un homme rencontre une femme.
Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d'un petit garçon.
Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant... Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga.
Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d'un petit garçon.
Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant... Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga.
- Le dernier des nôtres de Adélaïde Clermont-Tonnerre
- Parution en août 2016
- Editions Grasset
- 496 pages
Avis de Marine
Les parutions de la rentrée littéraire sont tellement nombreuses qu'il est très difficile de sélectionner les livres que l'on souhaite lire en priorité. Néanmoins certains sortent vite du lot grâce à leur couverture, leur titre ou encore leur résumé. Le dernier des nôtres est celui qui m'a marqué cette année.
Un petit tour dans une nouvelle librairie et j'en suis ressortie les bras chargés du roman d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre.
Le dernier des nôtres est un roman qui se déroule sur deux époques.
-1969- New-York
Werner Zilch est un jeune homme de vingt quatre ans. Adopté alors qu'il avait trois ans par une famille Américaine de la classe moyenne, il a pour ambition de réussir sur tous les fronts. Socialement parlant, la réussite est totale, les femmes se pâment devant le beau coureur et les hommes sont fiers de lui parler. Professionnellement, la réussite n'est pas encore totale mais Werner est sur le chemin de la réussite avec son associé et ami Marcus.
Sa rencontre avec Rebecca, artiste et fille de bonne famille va lui faire découvrir l'amour et la passion.
-1945- Dresde
La guerre fait rage et l'Allemagne meure sous les bombes.
Luisa est enceinte et elle fait partie des victimes. Avant de laisser la vie quitter son corps, elle va mettre au monde son bébé et prononcer ses derniers mots « Il s'appelle Werner Zilch. Ne changez pas son nom. Il est le dernier des nôtres ».
Ces deux histoires sont liées mais pour connaître la teneur des ces liens il m'a fallu tourner des centaines de pages. Et elles m'ont semblé bien longues.
Les personnages qui composent Le dernier des nôtres sont creux et ennuyeux. Ils ne dégagent aucunes émotions et ne m'ont pas permis de m'imprégner de leur histoire.
Si la trame de fond semblait plaisante, il s'est vite avéré qu'elle était cousue de fil blancs. L'originalité n'est pas le point fort de ce roman qui a rendu trop lisses les deux époques et ses personnages.
Si le dénouement a tardé à arriver, il au moins eu le mérite de réveiller mon attention mais malheureusement pas assez pour me captiver jusqu'à la fin. Les personnages m'ont été antipathiques, il m'a donc été très difficile d'apprécier leur histoire malgré les douleurs que ça réveille chez chacun.
Le dernier des nôtres ne m'a pas emporté comme d'autres romans du genre ont pu le faire. Je ressors très déçue de cette lecture qui avait tout pour me plaire sur le papier mais les mots d’Adélaïde Clermont-Tonnerre n'ont pas su me toucher.
Extrait du livre
Note de Marine
Un petit tour dans une nouvelle librairie et j'en suis ressortie les bras chargés du roman d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre.
Le dernier des nôtres est un roman qui se déroule sur deux époques.
-1969- New-York
Werner Zilch est un jeune homme de vingt quatre ans. Adopté alors qu'il avait trois ans par une famille Américaine de la classe moyenne, il a pour ambition de réussir sur tous les fronts. Socialement parlant, la réussite est totale, les femmes se pâment devant le beau coureur et les hommes sont fiers de lui parler. Professionnellement, la réussite n'est pas encore totale mais Werner est sur le chemin de la réussite avec son associé et ami Marcus.
Sa rencontre avec Rebecca, artiste et fille de bonne famille va lui faire découvrir l'amour et la passion.
-1945- Dresde
La guerre fait rage et l'Allemagne meure sous les bombes.
Luisa est enceinte et elle fait partie des victimes. Avant de laisser la vie quitter son corps, elle va mettre au monde son bébé et prononcer ses derniers mots « Il s'appelle Werner Zilch. Ne changez pas son nom. Il est le dernier des nôtres ».
Ces deux histoires sont liées mais pour connaître la teneur des ces liens il m'a fallu tourner des centaines de pages. Et elles m'ont semblé bien longues.
Les personnages qui composent Le dernier des nôtres sont creux et ennuyeux. Ils ne dégagent aucunes émotions et ne m'ont pas permis de m'imprégner de leur histoire.
Si la trame de fond semblait plaisante, il s'est vite avéré qu'elle était cousue de fil blancs. L'originalité n'est pas le point fort de ce roman qui a rendu trop lisses les deux époques et ses personnages.
Si le dénouement a tardé à arriver, il au moins eu le mérite de réveiller mon attention mais malheureusement pas assez pour me captiver jusqu'à la fin. Les personnages m'ont été antipathiques, il m'a donc été très difficile d'apprécier leur histoire malgré les douleurs que ça réveille chez chacun.
Le dernier des nôtres ne m'a pas emporté comme d'autres romans du genre ont pu le faire. Je ressors très déçue de cette lecture qui avait tout pour me plaire sur le papier mais les mots d’Adélaïde Clermont-Tonnerre n'ont pas su me toucher.
Extrait du livre
"On croit souvent que les êtres timides et effacés sont gentils alors qu'ils sont simplement faibles. Ils vous égorgent dès que l'occasion leur en sera donnée pour se venger de leur propre médiocrité."
Note de Marine
Mince, mince, mince ! Il m'intéressait beaucoup celui-ci...
RépondreSupprimerIl te plaira peut-être. Je te le souhaite.
SupprimerOutch! Ton résumé me parlait beaucoup plus que la 4ème de couverture puis c'est la douche froide avec ton avis.
RépondreSupprimerMerci pour ta franchise!
A très vite!
Coline Nelson
Je suis embêtée de ne pas t'avoir donnée envie de poursuivre mais c'est vrai qu'il ne m'a pas convaincu du tout.
SupprimerJe pensais vouloir le découvrir, mais ton avis, m'en dissuade. Dommage car il avait un bon potentiel...
RépondreSupprimerLaisses toi tenter, il te plaira peut-être mais les avis ne sont pas très élogieux.
SupprimerC'est vraiment dommage je l'avais repéré également puisque j'aime beaucoup les fictions historiques. Mais après ta chronique je crois que je vais attendre un peu avant de me lancer...
RépondreSupprimerJ'espère qu'il te plaira. En fiction historique, il y en a des beaucoup plus plaisantes c'est sûr.
SupprimerJ'ai entendu beaucoup d'avis mitigés sur celui-ci ... Du coup, je ne pense pas le lire :-/
RépondreSupprimerLes avis sont mitigés en effet. Comme je le disais plus haut, en fiction historique, il y a beaucoup mieux.
Supprimer